BRAVA
Nous voilà rendus à l’extrême
sud-ouest de l'archipel du Cap-Vert, l'île de Brava.
C'est la plus petite des îles habitées
mais également la plus isolée. Elle est la plus verte de toutes, la
plus fleurie aussi. Il faut vraiment être attentif pour ne pas
manquer le regard du paysan dans son champ de canne, qui attend de
croiser le votre pour un cordial « bun dia, esta buen »
(créole approximatif).
Le revers de la carte postale c'est un
exode massif. En trente ans, la population est passée de 20 000 à 5
000 habitants. Il n'existe pas de famille dont au moins un des siens
ne vive au Etats-Unis. Ces expatriés contribuent largement à la
santé économique de l'île.
On n'oubliera pas la gentillesse de
Béto qui nous accueille du mieux qu'il peut à Furna et facilite
grandement notre séjour, les moments partagés avec les pêcheurs de
la baie de Ferreiros, d’inénarrables trajets en aluguers et bien
entendu, de superbes balades dans une nature tantôt austère, tantôt
luxuriante.
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Le mouillage devant le petit village de Furna |
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Jean-Pierre part à la pêche |
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Les langoustes de Brava |
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Départ pour Faja de Agua dans un décor toujours grandiose |
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Le pressoir à cannes pour la fabrication du grogue. Une grande barre de bois est placée sur la partie haute. Elle est actionnée par un bœuf qui tourne autour du pressoir. Au second plan, des âtres permettent la distillation du sirop de canne. |
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Pierres à moudre qui étaient présentes dans chaque maison |
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A partir de 600 m d'altitude, on commence à cheminer parmi les fleurs. |
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Cova Joana, un village typique. |
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Les baobabs sont ici très présents |
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En montagne, maison bordée de haies d'hibiscus |
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Descente sur Nova Sintra |
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Sodric au mouillage de Faja de Agua |
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Visite de la distillerie de José, à Faja de Agua.
L'alambic |
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La réserve de rhum jeune ... il faut goûter bien sûr |
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La réserve de rhum vieux, conservé en fûts de chêne ... il faut goûter bien sûr
avec Monica et Rainer (touristes allemands hébergés chez José) |
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