DÉCOUVERTE DE SANTIAGO
Nous découvrons l'île de Santiago
avec Françoise et Jean-Pierre Leroy, nos amis de l'Houmeau, qui sont
venus nous rejoindre pour une semaine.
Après une visite du « platô »
de Praia, la capitale du Cap-Vert, nous voilà partis pour un nouveau
Tarrafal, situé au nord de l'île.
Nous naviguons au moteur le long
de la côte ouest et découvrons cette petite ville de 10 000
habitants, à l'ambiance franchement africaine.
De là, aluguers et randonnées sont à
nouveau au programme, avec une mention spéciale pour la descente
durant 6 heures du sommet de la Serra Malagueta (1065 m) jusqu'à la
mer, par la Ribeira Principale. Nous nous retrouvons en pleine
campagne, dans des hameaux accessibles uniquement par des chemins
escarpés, mais que les Cap-Verdiens parcourent sans difficulté, en tongues et avec de lourdes charges .
En bas de la vallée, nous nous
trouvons devant un spectacle de désolation. Trois jours plus tôt,
des orages terribles ont emporté routes et maisons, ce qui rendra
notre progression difficile.
Autre découverte impressionnante à
Ribeira da Barca : le ramassage par les hommes et les femmes de
sable noir pour la construction des maisons, dans les rouleaux, rien
qu'avec des seaux et des pelles. Travail de forçat à
côté duquel, la culture du maïs en montagne sur des pentes à 60°
pourrait passer pour une véritable détente.
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Sur le le "platô" de Praia, SODRIC au mouillage dans la baie. |
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Le marché bondé, débordant de couleurs et d'odeurs |
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A la recherche d'un mouillage sur la côte ouest de l'île |
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SODRIC au mouillage dans la baie de Tarrafal. L'annexe est "sous la responsabilité" de Berto
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Etre relaxe avec les autorités, et tout se passera bien |
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Descente de la Ribeira Principale |
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Les ravages de la crue. D'après les anciens, jamais vu ça depuis plus de 50 ans |
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Quelle chaleur le lendemain à Ribeira da barca |
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Les rencontres en chemin,toujours aussi sympathiques |
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Sur le chemin d'Achada Leite |
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Sur la plage où est stocké le sable arraché à la mer. Chaque tas est marqué par son propriétaire à l'aide de pierres. On nous a fait comprendre que la zone de collecte était "privado". |
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