dimanche 29 septembre 2013

DÉCOUVERTE DE SANTIAGO

Nous découvrons l'île de Santiago avec Françoise et Jean-Pierre Leroy, nos amis de l'Houmeau, qui sont venus nous rejoindre pour une semaine.

Après une visite du « platô » de Praia, la capitale du Cap-Vert, nous voilà partis pour un nouveau Tarrafal, situé au nord de l'île.

Nous naviguons au moteur le long de la côte ouest et découvrons cette petite ville de 10 000 habitants, à l'ambiance franchement africaine.

De là, aluguers et randonnées sont à nouveau au programme, avec une mention spéciale pour la descente durant 6 heures du sommet de la Serra Malagueta (1065 m) jusqu'à la mer, par la Ribeira Principale. Nous nous retrouvons en pleine campagne, dans des hameaux accessibles uniquement par des chemins escarpés, mais que les Cap-Verdiens parcourent sans difficulté, en tongues et avec de lourdes charges .
En bas de la vallée, nous nous trouvons devant un spectacle de désolation. Trois jours plus tôt, des orages terribles ont emporté routes et maisons, ce qui rendra notre progression difficile.


Autre découverte impressionnante à Ribeira da Barca : le ramassage par les hommes et les femmes de sable noir pour la construction des maisons, dans les rouleaux, rien qu'avec des seaux et des pelles. Travail de forçat à côté duquel, la culture du maïs en montagne sur des pentes à 60° pourrait passer pour une véritable détente.

Sur le le "platô" de Praia, SODRIC au mouillage dans la baie.


Le marché bondé, débordant de couleurs et d'odeurs 
A la recherche d'un mouillage sur la côte ouest de l'île
SODRIC au mouillage dans la baie de Tarrafal. L'annexe est "sous la responsabilité" de Berto


Etre relaxe avec les autorités, et tout se passera bien




Descente de la Ribeira Principale


Les ravages de la crue. D'après les anciens, jamais vu ça depuis plus de 50 ans


Quelle chaleur le lendemain à Ribeira da barca

Les rencontres en chemin,toujours aussi sympathiques

Sur le chemin d'Achada Leite


Sur la plage où est stocké le sable arraché à la mer. Chaque tas est marqué par son propriétaire à l'aide de pierres. On nous a fait comprendre que la zone de collecte était "privado".




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