lundi 11 septembre 2017



LA NOUVELLE-CALEDONIE

Nous sommes partis le 18 mai de Nouvelle-Zélande pour les Fidji et nous nous sommes retrouvés après 7 jours d'une traversée agitée…en Nouvelle-Calédonie. C'est à la fois l'inconvénient et l'avantage du voyage en bateau : être tributaire de la météo, mais pouvoir vagabonder d'un pays à l'autre sans autre forme de contrainte que le temps qu'il fait.

C'est donc tout contents que nous retrouvons une terre « presque » française et que nous partons pour une première découverte du sud du « caillou ».

Tout d’abord, nous accomplissons les formalités d'entrée et recherchons un lieu de stockage pour SODRIC car nous rentrons en France de novembre à mars prochain. Ces démarches faites, nous visitons Nouméa, ville sans réel intérêt, et partons tout au sud de l'immense lagon pour mouiller devant l'Ile des Pins.

Coup de chance, c'est la foire annuelle du village et, outre les chants et danses, cela nous permet une première initiation aux rites, coutumes et traditions kanak, pas forcement faciles à appréhender au premier abord. On essaiera de faire au mieux et de se conformer aux usages. Nous avons déjà à bord le « manu », pièce de tissu en coton que nous donnerons pour faire « coutume », offrande que le visiteur doit présenter au chef de tribu pour être admis sur ses terres et dans ses eaux.

Nous n'avons pas non plus négligé le côté carte postale en jetant l'ancre dans des mouillages de rêves : fonds de sable blancs, coraux et incroyable diversité de la faune marine mais une eau fraîche et peu de cocotiers, parfois remplacés par les magnifiques pins colonnaires. 

Après un petit mois, nous quittons la Nouvelle-Calédonie que nous retrouverons en septembre et mettons le cap sur l'archipel des Vanuatu.



Premiers pas dans le sud de la  Nouvelle Calédonie où les terres rouges contrastent superbement avec le bleu du lagon.




Sable, corail et pins colonnaires, la carte postale du rivage calédonien.
Et nous retrouvons les fonds tropicaux: quand on y a goûté, on en redemande toujours.  

Nous sommes en pays kanak et nous avons envie de découvrir et comprendre cette culture.






Danses et chants à la foire annuelle de l'île des pins.


Au sommet de l'île des pins...

... et le mouillage de Gadji, tout au nord de l'île.


Sur la plage et dans l'eau: le tricot rayé, pas dangereux car sa bouche est trop petite pour nous mordre, sinon, le venin est mortel!!!  


À Nouméa comme dans la campagne, internet c'est pas gagné !!! Desolé pour le retard sur le blog.


Arrivée un soir au mouillage et crépuscule dans la baie de l'orphelinat à Nouméa. 




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