Nous sommes partis le 18
mai de Nouvelle-Zélande pour les Fidji et nous nous sommes retrouvés
après 7 jours d'une traversée agitée…en Nouvelle-Calédonie.
C'est à la fois l'inconvénient et l'avantage du voyage en bateau :
être tributaire de la météo, mais pouvoir vagabonder d'un pays à
l'autre sans autre forme de contrainte que le temps qu'il fait.
C'est donc tout contents
que nous retrouvons une terre « presque » française et
que nous partons pour une première découverte du sud du
« caillou ».
Tout d’abord, nous
accomplissons les formalités d'entrée et recherchons un lieu de
stockage pour SODRIC car nous rentrons en France de novembre à mars
prochain. Ces démarches faites, nous visitons Nouméa, ville sans
réel intérêt, et partons tout au sud de l'immense lagon pour
mouiller devant l'Ile des Pins.
Coup de chance, c'est la
foire annuelle du village et, outre les chants et danses, cela nous
permet une première initiation aux rites, coutumes et traditions
kanak, pas forcement faciles à appréhender au premier abord. On
essaiera de faire au mieux et de se conformer aux usages. Nous avons
déjà à bord le « manu », pièce de tissu en coton que
nous donnerons pour faire « coutume », offrande que le
visiteur doit présenter au chef de tribu pour être admis sur ses
terres et dans ses eaux.
Nous n'avons pas non plus
négligé le côté carte postale en jetant l'ancre dans des
mouillages de rêves : fonds de sable blancs, coraux et
incroyable diversité de la faune marine mais une eau fraîche et peu
de cocotiers, parfois remplacés par les magnifiques pins colonnaires.
Après un petit mois,
nous quittons la Nouvelle-Calédonie que nous retrouverons en
septembre et mettons le cap sur l'archipel des Vanuatu.
Premiers pas dans le sud de la Nouvelle Calédonie où les terres rouges contrastent superbement avec le bleu du lagon.
Sable, corail et pins colonnaires, la carte postale du rivage calédonien.
Et nous retrouvons les fonds tropicaux: quand on y a goûté, on en redemande toujours.
Nous sommes en pays kanak et nous avons envie de découvrir et comprendre cette culture.
Danses et chants à la foire annuelle de l'île des pins.
Au sommet de l'île des pins...
... et le mouillage de Gadji, tout au nord de l'île.
Sur la plage et dans l'eau: le tricot rayé, pas dangereux car sa bouche est trop petite pour nous mordre, sinon, le venin est mortel!!!
À Nouméa comme dans la campagne, internet c'est pas gagné !!! Desolé pour le retard sur le blog.
Arrivée un soir au mouillage et crépuscule dans la baie de l'orphelinat à Nouméa.
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